Avec les frais maintenant expliqués en termes de dollars, les conseillers en placement canadiens doivent montrer qu’ils offrent aux investisseurs de la valeur pour leur argent. Plusieurs investisseurs canadiens pourraient potentiellement se tourner vers des options à moindre coût telles que les robots-conseillers et les
portefeuilles gérés passivement. Il y a également, bien entendu, des occasions pour les conseillers hautement performants d’utiliser le MRCC2 comme un moyen d’attirer des clients de concurrents peu performants. En bref, si un conseiller n’offre pas une valeur aux investisseurs pour leur argent, le MRCC2 n’est pas une bonne chose.